D'après ce rapport, «l'afflux de capitaux à destination de la région a fléchi par rapport au taux record de 2014, avec un recul des prêts bancaires internationaux impulsé par le processus de désendettement des banques européennes et la réorientation de leurs activités de prêt vers une Asie en plein développement».
Il relève que le durcissement des conditions financières extérieures pour les économies émergentes et en développement a forcé plusieurs pays de la région à repousser à plus tard les recours au marché obligataire international qu’ils avaient envisagés. Ce qui a entrainé un affaiblissement des positions extérieures au sein de la région.
«Le déficit budgétaire courant des exportateurs de pétrole s'est drastiquement creusé, notamment en Angola et en République du Congo», lit-on dans le résumé du rapport.
Entre 2014 et 2015, l’augmentation moyenne du déficit budgétaire des exportateurs de pétrole est estimée à 1,5 point de pourcentage du produit intérieur brut (Pib).
C’est la même situation qui est notée dans plusieurs pays exportateurs de produits non énergétiques comme l'Ethiopie et le Mozambique. Les causes, dans ces pays, sont à chercher dans la stagnation de leurs exportations et dans l’accroissement des importations destinées aux grands projets d'investissements publics.
Il relève que le durcissement des conditions financières extérieures pour les économies émergentes et en développement a forcé plusieurs pays de la région à repousser à plus tard les recours au marché obligataire international qu’ils avaient envisagés. Ce qui a entrainé un affaiblissement des positions extérieures au sein de la région.
«Le déficit budgétaire courant des exportateurs de pétrole s'est drastiquement creusé, notamment en Angola et en République du Congo», lit-on dans le résumé du rapport.
Entre 2014 et 2015, l’augmentation moyenne du déficit budgétaire des exportateurs de pétrole est estimée à 1,5 point de pourcentage du produit intérieur brut (Pib).
C’est la même situation qui est notée dans plusieurs pays exportateurs de produits non énergétiques comme l'Ethiopie et le Mozambique. Les causes, dans ces pays, sont à chercher dans la stagnation de leurs exportations et dans l’accroissement des importations destinées aux grands projets d'investissements publics.