(Ecofinance.sn Dakar) -«Vos échanges montrent que l’innovation est à la fois en amont et en aval du processus de développement. Ils confirment l’idée du Président Macky Sall selon laquelle l’Afrique n’est pas seulement le continent du futur mais aussi un acteur incontournable du présent », a déclaré Amadou Ba, en clôturant la rencontre.
Selon le ministre, les débats ont mis en évidence «le potentiel de l’Afrique en matière d’opportunités d’investissement dans des domaines porteurs de croissance et de création d’emplois ».
Il a indiqué que les thèmes bordés « sont étroitement liés aux principaux défis qui nous interpellent, notamment l’utilisation du numérique dans tous les domaines qui doivent mener à l’émergence de nos pays ».
« L’innovation a été au cœur des débats du fait de son rôle essentiel dans l’amélioration de la productivité et la compétitivité de nos économies », a-t-il relevé.
Selon lui, «la nécessité d’exploiter le dividende démographique lié à la jeunesse de la population africaine a été abordée ».
« Toutefois, ajoute-t-il, vous avez souligné la nécessité d’un accompagnement des Etats qui doit se matérialiser par le renforcement des infrastructures et de la gouvernance. Le secteur privé local aussi doit faire l’objet d’une plus grande attention de la part des pouvoirs publics, afin qu’il puisse jouer son véritable rôle pour l’émergence de l’Afrique ».
Concernant l’agriculture, dit-il, « les interventions ont montré que les principaux défis sont relatifs au foncier, à l’adaptation aux changements climatiques et à l’innovation technologique pour améliorer la productivité, à travers notamment l’intégration de l’Afrique dans les chaînes de valeurs mondiales ».
« Pour ce qui est de l’énergie, la gouvernance du secteur, les réformes des modèles de compagnie d’électricité et la diversification des sources d’énergie ont été, entre autres, les propositions des panélistes pour un accès universel à l’électricité. »
Le Forum a aussi mis en relief « l’importance de la réalisation d’infrastructures énergétiques sous-régionales ».
« Concernant l’éducation, le développement des compétences pratiques pourrait contribuer à résoudre le problème du chômage et de prendre en charge les besoins en matière de développement local. »
La promotion de l’utilisation du numérique au niveau de l’enseignement fondamental (primaire et moyen) et les questions relatives à la finance ont également été évoquées. « Nous sommes tous conscients du retard de l’Afrique en ce qui concerne l’approfondissement et l’élargissement financiers, mais des efforts sont faits pour changer la donne », note Amadou Ba.
« Ce forum a été également l’occasion de signer des protocoles d’accord entre partenaires africains d’une part et différents acteurs d’autre part. Il s’agit de la Chine, la Banque mondiale, la Banque africaine de développement et la Banque chinoise de développement. »
Selon le ministre, les débats ont mis en évidence «le potentiel de l’Afrique en matière d’opportunités d’investissement dans des domaines porteurs de croissance et de création d’emplois ».
Il a indiqué que les thèmes bordés « sont étroitement liés aux principaux défis qui nous interpellent, notamment l’utilisation du numérique dans tous les domaines qui doivent mener à l’émergence de nos pays ».
« L’innovation a été au cœur des débats du fait de son rôle essentiel dans l’amélioration de la productivité et la compétitivité de nos économies », a-t-il relevé.
Selon lui, «la nécessité d’exploiter le dividende démographique lié à la jeunesse de la population africaine a été abordée ».
« Toutefois, ajoute-t-il, vous avez souligné la nécessité d’un accompagnement des Etats qui doit se matérialiser par le renforcement des infrastructures et de la gouvernance. Le secteur privé local aussi doit faire l’objet d’une plus grande attention de la part des pouvoirs publics, afin qu’il puisse jouer son véritable rôle pour l’émergence de l’Afrique ».
Concernant l’agriculture, dit-il, « les interventions ont montré que les principaux défis sont relatifs au foncier, à l’adaptation aux changements climatiques et à l’innovation technologique pour améliorer la productivité, à travers notamment l’intégration de l’Afrique dans les chaînes de valeurs mondiales ».
« Pour ce qui est de l’énergie, la gouvernance du secteur, les réformes des modèles de compagnie d’électricité et la diversification des sources d’énergie ont été, entre autres, les propositions des panélistes pour un accès universel à l’électricité. »
Le Forum a aussi mis en relief « l’importance de la réalisation d’infrastructures énergétiques sous-régionales ».
« Concernant l’éducation, le développement des compétences pratiques pourrait contribuer à résoudre le problème du chômage et de prendre en charge les besoins en matière de développement local. »
La promotion de l’utilisation du numérique au niveau de l’enseignement fondamental (primaire et moyen) et les questions relatives à la finance ont également été évoquées. « Nous sommes tous conscients du retard de l’Afrique en ce qui concerne l’approfondissement et l’élargissement financiers, mais des efforts sont faits pour changer la donne », note Amadou Ba.
« Ce forum a été également l’occasion de signer des protocoles d’accord entre partenaires africains d’une part et différents acteurs d’autre part. Il s’agit de la Chine, la Banque mondiale, la Banque africaine de développement et la Banque chinoise de développement. »