Le Sénégal ne se contente plus de rêver de pétrole, il en exporte ! Les chiffres de juillet 2025 le prouvent : le pays a expédié 2,98 millions de barils de pétrole brut et plus de 336 000 m³ de gaz naturel liquéfié (GNL) sur le marché international.
L'ambition est claire : avec trois cargaisons de pétrole brut déjà parties du champ de Sangomar, et deux cargaisons de GNL du projet Grand Tortue Ahmeyim (GTA), le Sénégal est en train de se tailler une place de choix sur le marché des hydrocarbures.
Une année sous le signe de l'or noir
Les prévisions pour l'année 2025 sont audacieuses : le pays compte exporter un total de 30,53 millions de barils. C'est un objectif qui positionne le champ de Sangomar comme une véritable locomotive pour la nouvelle économie sénégalaise.
Mais ce n'est que le début. Les équipes sur place sont en pleine phase de montée en puissance, travaillant à stabiliser la production pour les mois à venir. Le partenariat avec la Mauritanie sur le projet GTA est un autre signe fort de cette dynamique régionale.
Au-delà des chiffres : une vision pour l'avenir
Derrière ces chiffres impressionnants, le gouvernement sénégalais insiste sur un message crucial : la gestion de cette manne doit être responsable, équitable et transparente. Le ministère de l'Énergie, du Pétrole et des Mines s'engage à ce que les bénéfices de ces ressources profitent à tous.
Et ce n'est pas tout. Des efforts sont également promis sur le front environnemental, pour garantir que cette transition énergétique se fasse en douceur, et sur le plan social, pour que les communautés locales bénéficient directement de ce boom économique.
Les prochains mois seront déterminants. Ils nous diront si le Sénégal, après avoir posé les premières pierres de son industrie pétrolière, est prêt à en récolter les fruits pour un développement durable et souverain.
L'ambition est claire : avec trois cargaisons de pétrole brut déjà parties du champ de Sangomar, et deux cargaisons de GNL du projet Grand Tortue Ahmeyim (GTA), le Sénégal est en train de se tailler une place de choix sur le marché des hydrocarbures.
Une année sous le signe de l'or noir
Les prévisions pour l'année 2025 sont audacieuses : le pays compte exporter un total de 30,53 millions de barils. C'est un objectif qui positionne le champ de Sangomar comme une véritable locomotive pour la nouvelle économie sénégalaise.
Mais ce n'est que le début. Les équipes sur place sont en pleine phase de montée en puissance, travaillant à stabiliser la production pour les mois à venir. Le partenariat avec la Mauritanie sur le projet GTA est un autre signe fort de cette dynamique régionale.
Au-delà des chiffres : une vision pour l'avenir
Derrière ces chiffres impressionnants, le gouvernement sénégalais insiste sur un message crucial : la gestion de cette manne doit être responsable, équitable et transparente. Le ministère de l'Énergie, du Pétrole et des Mines s'engage à ce que les bénéfices de ces ressources profitent à tous.
Et ce n'est pas tout. Des efforts sont également promis sur le front environnemental, pour garantir que cette transition énergétique se fasse en douceur, et sur le plan social, pour que les communautés locales bénéficient directement de ce boom économique.
Les prochains mois seront déterminants. Ils nous diront si le Sénégal, après avoir posé les premières pierres de son industrie pétrolière, est prêt à en récolter les fruits pour un développement durable et souverain.