Le secrétaire général du MEPM, Cheikh Niane (en caftan blanc), a tenu un discours dense qui marque un jalon dans la structuration du secteur et la consolidation des ambitions climatiques du Sénégal.
Le secrétaire général du ministère de l’Énergie, du Pétrole et des Mines, Cheikh Niane, a présidé l’atelier de validation du rapport de l’enquête nationale sur les énergies renouvelables. Une allocution dense, qui marque un jalon dans la structuration du secteur et la consolidation des ambitions climatiques du Sénégal.
Une photographie inédite du secteur renouvelable
Conduite par l’ANSD avec l’appui technique de l’ANER et le soutien du PNUD, cette enquête constitue la première base statistique nationale détaillée sur la production et la consommation d’énergies renouvelables, couvrant à la fois les entreprises et les ménages. Elle vient enrichir le système national d’information energétique et s’impose comme un outil de pilotage stratégique pour les décideurs publics et privés.
« La donnée est le socle de la planification, de la transparence, de la performance et de la redevabilité », a souligné Cheikh Niane.
29,1 % de renouvelables dans le mix énergétique en 2024
Avec une puissance installée de 1 903,8 MW dont 29,1 % issue des énergies renouvelables, le Sénégal confirme son positionnement parmi les leaders africains. L’objectif de 40 % d’ici 2030 est réaffirmé, dans une logique d’accès universel à une énergie durable, compétitive et résiliente.
Le discours met également en lumière :
Le développement des mini-réseaux pour l’électrification rurale d’ici 2029 La promotion des usages productifs et de l’éclairage public solaire Un cadre réglementaire incitatif favorisant les partenariats publics privés (PPP) et la formation Une photographie inédite du secteur renouvelable
Conduite par l’ANSD avec l’appui technique de l’ANER et le soutien du PNUD, cette enquête constitue la première base statistique nationale détaillée sur la production et la consommation d’énergies renouvelables, couvrant à la fois les entreprises et les ménages. Elle vient enrichir le système national d’information energétique et s’impose comme un outil de pilotage stratégique pour les décideurs publics et privés.
« La donnée est le socle de la planification, de la transparence, de la performance et de la redevabilité », a souligné Cheikh Niane.
29,1 % de renouvelables dans le mix énergétique en 2024
Avec une puissance installée de 1 903,8 MW dont 29,1 % issue des énergies renouvelables, le Sénégal confirme son positionnement parmi les leaders africains. L’objectif de 40 % d’ici 2030 est réaffirmé, dans une logique d’accès universel à une énergie durable, compétitive et résiliente.
Le discours met également en lumière :
Une transition énergétique au service du climat
Le Sénégal inscrit sa stratégie énergétique dans une trajectoire bas carbone, alignée sur sa contribution déterminée au niveau national (CDN). L’allocution de Cheikh Niane rappelle l’importance de l’Article 6 de l’Accord de Paris comme levier de financement et de coopération climatique.
Un partenariat tripartite à renforcer
La collaboration entre le ministère, l’ANSD et le PNUD est saluée comme un modèle à pérenniser. Le Secrétaire général appelle à institutionnaliser des enquêtes périodiques intégrant les dimensions économiques, sociales et environnementales du secteur.
Le Sénégal inscrit sa stratégie énergétique dans une trajectoire bas carbone, alignée sur sa contribution déterminée au niveau national (CDN). L’allocution de Cheikh Niane rappelle l’importance de l’Article 6 de l’Accord de Paris comme levier de financement et de coopération climatique.
Un partenariat tripartite à renforcer
La collaboration entre le ministère, l’ANSD et le PNUD est saluée comme un modèle à pérenniser. Le Secrétaire général appelle à institutionnaliser des enquêtes périodiques intégrant les dimensions économiques, sociales et environnementales du secteur.