
(Ecofinance.sn Dakar) - Baptisé RADAR, pour Reporters And Data And Robots, son objectif est de permettre à une petite équipe de reporters, assistés par l’intelligence artificielle, de publier massivement des informations locales, en tirant parti de l’ouverture des données. « L’objectif du projet RADAR est de publier 30 000 articles, chaque mois, inspirés par la quantité massive de données ouvertes relayées par le gouvernement, les autorités locales, les forces de police et autres corps constitués », explique Peter Clifton, rédacteur en chef de The Press Association.
« L’idée est de rédiger des nouvelles locales, qui risqueraient d’être noyées dans la masse d’informations. En effet, l’ouverture des données, phénomène en constante expansion, offre de nombreuses opportunités de décrypter l’action des pouvoirs publics. Cependant, peu sont les organes de presse locaux à disposer des ressources nécessaires pour rassembler, analyser et interpréter ces données. RADAR a ainsi pour but de satisfaire la demande croissante d’informations factuelles et consistantes à l’échelle locale, à destination de la presse quotidienne régionale, ainsi que du nombre croissant de rédacteurs indépendants, de publications ultra-locales et de blogueurs », développe-t-il. Parmi les principales thématiques abordées, il cite la criminalité, la santé et le marché du travail.
Pour mener à bien cette mission, The Press Association travaille avec Urbs Media, une start-up spécialisée dans l’usage de données au service de l’information. « The Press Association et Urbs Media travaillent sur un flux opérationnel de bout en bout afin de générer ce large volume d’informations à partir des masses de données. L’intelligence humaine sera aux commandes, assistée par l’intelligence artificielle », précise Peter Clifton. Car si le projet repose sur des algorithmes d’intelligence artificielle pour traiter de vastes quantités de données, les humains continuent d’y occuper une place prépondérante.
« L’idée est de rédiger des nouvelles locales, qui risqueraient d’être noyées dans la masse d’informations. En effet, l’ouverture des données, phénomène en constante expansion, offre de nombreuses opportunités de décrypter l’action des pouvoirs publics. Cependant, peu sont les organes de presse locaux à disposer des ressources nécessaires pour rassembler, analyser et interpréter ces données. RADAR a ainsi pour but de satisfaire la demande croissante d’informations factuelles et consistantes à l’échelle locale, à destination de la presse quotidienne régionale, ainsi que du nombre croissant de rédacteurs indépendants, de publications ultra-locales et de blogueurs », développe-t-il. Parmi les principales thématiques abordées, il cite la criminalité, la santé et le marché du travail.
Pour mener à bien cette mission, The Press Association travaille avec Urbs Media, une start-up spécialisée dans l’usage de données au service de l’information. « The Press Association et Urbs Media travaillent sur un flux opérationnel de bout en bout afin de générer ce large volume d’informations à partir des masses de données. L’intelligence humaine sera aux commandes, assistée par l’intelligence artificielle », précise Peter Clifton. Car si le projet repose sur des algorithmes d’intelligence artificielle pour traiter de vastes quantités de données, les humains continuent d’y occuper une place prépondérante.