Ainsi, Aïssata Ndiadé, 28 ans, est devenue partenaire de Yango il y a déjà trois ans. « Avant, je me cherchais. Beaucoup de jeunes veulent entreprendre mais ne savent pas par où commencer, ne connaissent pas la personne qui pourrait leur tendre la main », raconte-t-elle. « Si j’ai eu la facilité d’entreprendre dans ce milieu, c’est parce que l’équipe de la plateforme m’a bien accueillie et formée, sur la création d’entreprise, la création de parc, l’acquisition de véhicules. On a pu se projeter et évoluer ». Devenue opératrice de flotte, Aïssata est partie d’un projet de financement participatif. Elle gère aujourd'hui une dizaine de véhicules et une équipe de quatre personnes. « L’application a mis en place un système pour faciliter notre travail, nous, les partenaires », explique-t-elle. « On a tous rencontré des gens qui nous ont découragé, ils projettent leur peur, ils se limitent. Mais, pour moi, ce n’était pas une bonne chose. Qui ne tente rien n’a rien, il faut prendre des risques pour pouvoir évoluer ».
Mohamadou Lamine Babou, surnommé Bara, est un jeune de 25 ans comme les autres, qui est inscrit en Fac d’anglais, aime passer du temps avec sa famille et ses amis. Mais il est aussi un entrepreneur chevronné qui, grâce à l’application Yango, est devenu son propre patron. « J’aime être libre. Et la plateforme, me permet de garder cette liberté en pouvant travailler de partout », affirme-t-il. En arrivant de Kaolack à Dakar en 2021, il cherche un travail décent pour aider sa famille, tout en poursuivant ses études. « J’ai appelé Yango qui m’a mis en rapport avec un de leurs partenaires pour qui j’allais devenir chauffeur. » Cette première chance, il la doit à un homme, son mentor M. Fall. « Il a été le premier à me faire confiance ». Très vite, ce dernier lui confie des responsabilités. Bara devient son bras droit. Aujourd’hui, à travers sa propre entreprise, il supervise plus de 300 personnes. Parmi ces chauffeurs qu’il accompagne, 15 femmes déterminées : « elles ont toute leur place dans ce secteur des VTC », ajoute-t-il. Et de conclure : « Aujourd’hui, nous souhaitons que notre domaine soit vraiment reconnu, pour qu’on puisse continuer de servir notre pays. »
Photo : Mohamadou Lamine Babou, surnommé Bara, est un jeune de 25 ans.
Yango accompagne ses partenaires, des propriétaires ou gestionnaires de flottes (véhicules particuliers) à entrer en contact direct avec les consommateurs, moyennant une commission jugée raisonnable selon les concernés. « Ce que la plupart de gens ignorent c’est que Yango n’a pas de véhicules ou de chauffeurs », confie Cheikh Ibrahim, un des chauffeurs que Bara a recrutés et formés. « La plateforme met un service à la disposition de ses usagers. Aux chauffeurs de venir avec leur propre véhicule pour se faire plus d’argent. J’étais chauffeur de taxi classique avant. Mais depuis que j’utilise Yango, je travaille de manière plus professionnelle et ça m’a permis de mieux m’en sortir qu’avant. Franchement, je le recommande à tout le monde, et je remercie Mouhamadou Lamine de nous avoir aussi bien formés », conclut-il.
Mohamadou Lamine Babou, surnommé Bara, est un jeune de 25 ans comme les autres, qui est inscrit en Fac d’anglais, aime passer du temps avec sa famille et ses amis. Mais il est aussi un entrepreneur chevronné qui, grâce à l’application Yango, est devenu son propre patron. « J’aime être libre. Et la plateforme, me permet de garder cette liberté en pouvant travailler de partout », affirme-t-il. En arrivant de Kaolack à Dakar en 2021, il cherche un travail décent pour aider sa famille, tout en poursuivant ses études. « J’ai appelé Yango qui m’a mis en rapport avec un de leurs partenaires pour qui j’allais devenir chauffeur. » Cette première chance, il la doit à un homme, son mentor M. Fall. « Il a été le premier à me faire confiance ». Très vite, ce dernier lui confie des responsabilités. Bara devient son bras droit. Aujourd’hui, à travers sa propre entreprise, il supervise plus de 300 personnes. Parmi ces chauffeurs qu’il accompagne, 15 femmes déterminées : « elles ont toute leur place dans ce secteur des VTC », ajoute-t-il. Et de conclure : « Aujourd’hui, nous souhaitons que notre domaine soit vraiment reconnu, pour qu’on puisse continuer de servir notre pays. »
Yango accompagne ses partenaires, des propriétaires ou gestionnaires de flottes (véhicules particuliers) à entrer en contact direct avec les consommateurs, moyennant une commission jugée raisonnable selon les concernés. « Ce que la plupart de gens ignorent c’est que Yango n’a pas de véhicules ou de chauffeurs », confie Cheikh Ibrahim, un des chauffeurs que Bara a recrutés et formés. « La plateforme met un service à la disposition de ses usagers. Aux chauffeurs de venir avec leur propre véhicule pour se faire plus d’argent. J’étais chauffeur de taxi classique avant. Mais depuis que j’utilise Yango, je travaille de manière plus professionnelle et ça m’a permis de mieux m’en sortir qu’avant. Franchement, je le recommande à tout le monde, et je remercie Mouhamadou Lamine de nous avoir aussi bien formés », conclut-il.