Alors que le Sénégal peine à capter la valeur ajoutée de ses sables minéralisés, d’autres pays producteurs ont mis en place des stratégies plus intégrées. De l’Afrique du Sud à l’Australie, en passant par le Mozambique, ces modèles offrent des pistes concrètes pour repenser la politique minière sénégalaise.
Cette comparaison peut nourrir une réflexion stratégique sur :
Renforcer le cadre réglementaire : Introduire des obligations de transformation locale dans le code minier, avec des quotas ou des incitations fiscales ciblées.
Cette comparaison peut nourrir une réflexion stratégique sur :
Renforcer le cadre réglementaire : Introduire des obligations de transformation locale dans le code minier, avec des quotas ou des incitations fiscales ciblées.
- Créer des zones industrielles dédiées : Favoriser l’implantation d’unités de broyage, de fusion ou de valorisation des minéraux dans des zones à fiscalité avantageuse.
- Investir dans les compétences : Développer des partenariats entre universités, centres de recherche et industriels pour former une main-d’œuvre qualifiée.
- Attirer les investisseurs stratégiques : Mettre en place un environnement stable et transparent pour encourager les investissements dans la transformation locale.
- Valoriser le contenu local : Exiger des entreprises minières qu’elles intègrent davantage de fournisseurs, de services et de main-d’œuvre sénégalais.
👉 Le Sénégal a l’opportunité de transformer ses ressources en levier industriel. Il ne s’agit plus seulement d’extraire, mais de construire une économie minière intégrée et durable.