Le Groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment de capitaux en Afrique de l’Ouest (GIABA) célèbre son 25e anniversaire en consolidant une alliance inédite avec les journalistes d’investigation. À Bissau, son Directeur général, Edwin W. Harris Jr., a salué le rôle des médias comme « phares puissants » dans la lutte contre les crimes financiers, soulignant leur capacité à éclairer les zones grises de l’économie régionale.
Criminalité financière : des menaces en mutation
Le discours inaugural a dressé un panorama des vulnérabilités persistantes : corruption de haut niveau, flux illicites issus du secteur extractif, usage abusif d’actifs virtuels, trafic de drogue, et faible régulation des EPNFD. Ces défis, selon le GIABA, compromettent l’efficacité des dispositifs LBC/FT/PF et appellent à une mobilisation citoyenne renforcée.
Renforcement des capacités : les journalistes au cœur du dispositif
Depuis 2009, le GIABA forme les journalistes dans les États membres de la CEDEAO. Cette initiative, saluée à l’international, vise à doter les professionnels des médias de techniques d’investigation modernes, à construire un réseau engagé pour la transparence, et à améliorer la couverture des enjeux LBC/FT. La session de Bissau s’inscrit dans cette continuité, avec un accent sur la rigueur éditoriale et la lutte contre la désinformation.
Synergies institutionnelles et coopération régionale
Le DG du GIABA a également mis en avant ses partenariats avec le GAFI, l’Union européenne, la GIZ, la BAD et d’autres acteurs du développement. Ces collaborations ont permis la création de cellules de renseignement financier dans presque tous les États membres, l’alignement des cadres juridiques sur les normes internationales, et le lancement du troisième cycle d’évaluations mutuelles.
Appel à l’engagement : les médias comme vecteurs de transformation
En clôture, le Directeur général a exhorté les journalistes à tirer pleinement parti de la formation, à renforcer leurs compétences, et à bâtir des alliances durables. « La lumière l’emportera sur les ténèbres », a-t-il affirmé, plaçant les médias au cœur d’un avenir plus transparent et plus prospère pour l’Afrique de l’Ouest.
Criminalité financière : des menaces en mutation
Le discours inaugural a dressé un panorama des vulnérabilités persistantes : corruption de haut niveau, flux illicites issus du secteur extractif, usage abusif d’actifs virtuels, trafic de drogue, et faible régulation des EPNFD. Ces défis, selon le GIABA, compromettent l’efficacité des dispositifs LBC/FT/PF et appellent à une mobilisation citoyenne renforcée.
Renforcement des capacités : les journalistes au cœur du dispositif
Depuis 2009, le GIABA forme les journalistes dans les États membres de la CEDEAO. Cette initiative, saluée à l’international, vise à doter les professionnels des médias de techniques d’investigation modernes, à construire un réseau engagé pour la transparence, et à améliorer la couverture des enjeux LBC/FT. La session de Bissau s’inscrit dans cette continuité, avec un accent sur la rigueur éditoriale et la lutte contre la désinformation.
Synergies institutionnelles et coopération régionale
Le DG du GIABA a également mis en avant ses partenariats avec le GAFI, l’Union européenne, la GIZ, la BAD et d’autres acteurs du développement. Ces collaborations ont permis la création de cellules de renseignement financier dans presque tous les États membres, l’alignement des cadres juridiques sur les normes internationales, et le lancement du troisième cycle d’évaluations mutuelles.
Appel à l’engagement : les médias comme vecteurs de transformation
En clôture, le Directeur général a exhorté les journalistes à tirer pleinement parti de la formation, à renforcer leurs compétences, et à bâtir des alliances durables. « La lumière l’emportera sur les ténèbres », a-t-il affirmé, plaçant les médias au cœur d’un avenir plus transparent et plus prospère pour l’Afrique de l’Ouest.