Le 17 juillet 2025, le Mali a obtenu un financement significatif de 24 milliards FCFA du Fonds de soutien aux infrastructures de base et au développement social, spécifiquement destiné à améliorer l'approvisionnement national en électricité. Ce fonds innovant, créé par l'ordonnance n°2025-008/PT-RM, est notamment alimenté par les taxes sur les transactions téléphoniques et les services de mobile money, et dispose actuellement d'un budget de plus de 34,7 milliards FCFA.
Ce financement fait partie intégrante du "Plan unique d'amélioration de la desserte en électricité", lancé pendant le mois de Ramadan. Le financement substantiel de 24 milliards FCFA pour l'accès à l'électricité au Mali, provenant notamment de taxes nationales, signale un engagement national fort à combler les déficits persistants en infrastructures énergétiques et une démarche stratégique vers une plus grande autonomie dans le financement de projets de développement critiques. Ce mécanisme de financement interne offre une base financière plus stable et prévisible, réduisant la dépendance excessive à l'aide extérieure.
Le financement susmentionné est jugé crucial compte tenu de la forte pression exercée sur les infrastructures énergétiques existantes au Mali. Le Fonds monétaire international (FMI) a achevé sa consultation au titre de l'article IV avec le Mali le 30 juillet 2025. Bien que les détails de cette consultation ne soient pas spécifiquement liés à l'énergie, elle implique généralement une évaluation complète des développements économiques et des politiques d'un pays, fournissant un contexte macroéconomique plus large pour les défis et les réformes du secteur énergétique.
L'investissement national significatif du Mali dans les infrastructures électriques met en évidence l'impératif national urgent de remédier aux déficits existants et d'améliorer la stabilité énergétique globale. Le contexte des consultations du FMI suggère que ces investissements énergétiques font partie de réformes économiques plus larges et coordonnées visant à favoriser une croissance durable et à réduire la vulnérabilité du pays aux chocs économiques.
Le Mali est identifié comme un pays cible prioritaire pour l'initiative "Desert to Power" de la Banque africaine de développement, un programme phare visant à produire jusqu'à 10 GW d'énergie solaire dans la région du Sahel. Le projet d'interconnexion électrique Mauritanie Mali de 225 kV, récemment approuvé par la BAD, est conçu pour permettre au Mali d'importer environ 600 GWh d'énergie renouvelable de la Mauritanie chaque année et devrait connecter 20 000 nouveaux foyers au Mali.
La phase 2 du programme d'assistance technique de Desert to Power, soutenue par une subvention de 5,03 millions de dollars, aidera spécifiquement à la préparation de projets solaires (connectés au réseau et décentralisés) et au renforcement des capacités dans le secteur énergétique malien, aux côtés d'autres pays bénéficiaires. La participation active du Mali à des initiatives solaires régionales à grande échelle comme Desert to Power et l'interconnexion Mauritanie Mali démontre une dépendance stratégique aux énergies renouvelables et une coopération régionale robuste pour renforcer sa sécurité énergétique et étendre l'accès.
Cette approche collaborative répond non seulement aux besoins énergétiques nationaux urgents, mais exploite également les ressources régionales pour un marché de l'électricité ouest africain plus vert et plus intégré, favorisant une résilience collective.
Ce financement fait partie intégrante du "Plan unique d'amélioration de la desserte en électricité", lancé pendant le mois de Ramadan. Le financement substantiel de 24 milliards FCFA pour l'accès à l'électricité au Mali, provenant notamment de taxes nationales, signale un engagement national fort à combler les déficits persistants en infrastructures énergétiques et une démarche stratégique vers une plus grande autonomie dans le financement de projets de développement critiques. Ce mécanisme de financement interne offre une base financière plus stable et prévisible, réduisant la dépendance excessive à l'aide extérieure.
Le financement susmentionné est jugé crucial compte tenu de la forte pression exercée sur les infrastructures énergétiques existantes au Mali. Le Fonds monétaire international (FMI) a achevé sa consultation au titre de l'article IV avec le Mali le 30 juillet 2025. Bien que les détails de cette consultation ne soient pas spécifiquement liés à l'énergie, elle implique généralement une évaluation complète des développements économiques et des politiques d'un pays, fournissant un contexte macroéconomique plus large pour les défis et les réformes du secteur énergétique.
L'investissement national significatif du Mali dans les infrastructures électriques met en évidence l'impératif national urgent de remédier aux déficits existants et d'améliorer la stabilité énergétique globale. Le contexte des consultations du FMI suggère que ces investissements énergétiques font partie de réformes économiques plus larges et coordonnées visant à favoriser une croissance durable et à réduire la vulnérabilité du pays aux chocs économiques.
Le Mali est identifié comme un pays cible prioritaire pour l'initiative "Desert to Power" de la Banque africaine de développement, un programme phare visant à produire jusqu'à 10 GW d'énergie solaire dans la région du Sahel. Le projet d'interconnexion électrique Mauritanie Mali de 225 kV, récemment approuvé par la BAD, est conçu pour permettre au Mali d'importer environ 600 GWh d'énergie renouvelable de la Mauritanie chaque année et devrait connecter 20 000 nouveaux foyers au Mali.
La phase 2 du programme d'assistance technique de Desert to Power, soutenue par une subvention de 5,03 millions de dollars, aidera spécifiquement à la préparation de projets solaires (connectés au réseau et décentralisés) et au renforcement des capacités dans le secteur énergétique malien, aux côtés d'autres pays bénéficiaires. La participation active du Mali à des initiatives solaires régionales à grande échelle comme Desert to Power et l'interconnexion Mauritanie Mali démontre une dépendance stratégique aux énergies renouvelables et une coopération régionale robuste pour renforcer sa sécurité énergétique et étendre l'accès.
Cette approche collaborative répond non seulement aux besoins énergétiques nationaux urgents, mais exploite également les ressources régionales pour un marché de l'électricité ouest africain plus vert et plus intégré, favorisant une résilience collective.