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Le Salon international des mines (SIM Sénégal 2025) s’est ouvert ce mardi 4 novembre au Centre international de conférences Abdou Diouf (CICAD), à Diamniadio. Présidant la cérémonie officielle, le chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye, a rappelé que, durant trois jours, Dakar sera le théâtre d’échanges stratégiques, d’alliances et de visions partagées autour du thème central : « Les ressources minérales, un levier de souveraineté économique ».
Les ressources comme fondement de l’indépendance économique
Dans son allocution, le président Faye a souligné que la transformation et la valorisation des ressources naturelles constituent « les fondations essentielles de notre indépendance économique et de notre prospérité durable ». Pour lui, il ne s’agit plus seulement d’extraire, mais de faire parler les richesses du sous-sol le langage du progrès, de la connaissance et du bien-être collectif.
Un rendez-vous continental
Organisé sous l’égide du ministère de l’Énergie, du Pétrole et des Mines, en partenariat avec AMETrade Sénégal SARL, le SIM Sénégal s’impose comme une conférence biennale de référence. Son ambition : encourager l’investissement responsable, accompagner la modernisation du secteur extractif et renforcer la place du Sénégal sur la scène minière mondiale.
L’événement réunit gouvernements, investisseurs et opérateurs industriels pour promouvoir des politiques minières innovantes, alignées sur les standards internationaux de durabilité, transparence et contenu local.
Gouvernance et inclusion au cœur du discours
Dans un contexte politique marqué par une alternance démocratique apaisée, le président a inscrit cette édition dans la dynamique de l’Agenda national de transformation « Sénégal 2050 », qui consacre les ressources minérales comme leviers de souveraineté, de résilience sociale et de durabilité.
Il a insisté sur la nécessité de bâtir des industries de transformation robustes, capables d’intégrer les minéraux sénégalais dans les chaînes de valeur nationales, africaines et mondiales. Chaque gramme d’or, chaque tonne de phosphate ou de zircon devra contribuer à une économie créatrice d’emplois qualifiés et stimulante pour l’innovation.
Développement local et équité
Le président a rappelé que les ressources minières appartiennent au peuple et doivent bénéficier directement aux communautés locales. Le Code minier de 2016 prévoit à cet effet des mécanismes tels que le Fonds d’appui au développement local et le Fonds de péréquation, destinés à renforcer les capacités des collectivités territoriales.
Il a également mis en avant l’autonomisation des femmes dans les politiques minières, ainsi que l’exigence d’une gouvernance exemplaire, fondée sur la transparence, la traçabilité et la redevabilité.
Un modèle de bonne gouvernance en perspective
En conclusion, Bassirou Diomaye Faye a affirmé la volonté de l’État de faire du secteur minier un modèle de bonne gouvernance, où chaque contrat, chaque investissement et chaque retombée seront placés sous le sceau de la responsabilité et de l’intérêt national.
Les ressources comme fondement de l’indépendance économique
Dans son allocution, le président Faye a souligné que la transformation et la valorisation des ressources naturelles constituent « les fondations essentielles de notre indépendance économique et de notre prospérité durable ». Pour lui, il ne s’agit plus seulement d’extraire, mais de faire parler les richesses du sous-sol le langage du progrès, de la connaissance et du bien-être collectif.
Un rendez-vous continental
Organisé sous l’égide du ministère de l’Énergie, du Pétrole et des Mines, en partenariat avec AMETrade Sénégal SARL, le SIM Sénégal s’impose comme une conférence biennale de référence. Son ambition : encourager l’investissement responsable, accompagner la modernisation du secteur extractif et renforcer la place du Sénégal sur la scène minière mondiale.
L’événement réunit gouvernements, investisseurs et opérateurs industriels pour promouvoir des politiques minières innovantes, alignées sur les standards internationaux de durabilité, transparence et contenu local.
Gouvernance et inclusion au cœur du discours
Dans un contexte politique marqué par une alternance démocratique apaisée, le président a inscrit cette édition dans la dynamique de l’Agenda national de transformation « Sénégal 2050 », qui consacre les ressources minérales comme leviers de souveraineté, de résilience sociale et de durabilité.
Il a insisté sur la nécessité de bâtir des industries de transformation robustes, capables d’intégrer les minéraux sénégalais dans les chaînes de valeur nationales, africaines et mondiales. Chaque gramme d’or, chaque tonne de phosphate ou de zircon devra contribuer à une économie créatrice d’emplois qualifiés et stimulante pour l’innovation.
Développement local et équité
Le président a rappelé que les ressources minières appartiennent au peuple et doivent bénéficier directement aux communautés locales. Le Code minier de 2016 prévoit à cet effet des mécanismes tels que le Fonds d’appui au développement local et le Fonds de péréquation, destinés à renforcer les capacités des collectivités territoriales.
Il a également mis en avant l’autonomisation des femmes dans les politiques minières, ainsi que l’exigence d’une gouvernance exemplaire, fondée sur la transparence, la traçabilité et la redevabilité.
Un modèle de bonne gouvernance en perspective
En conclusion, Bassirou Diomaye Faye a affirmé la volonté de l’État de faire du secteur minier un modèle de bonne gouvernance, où chaque contrat, chaque investissement et chaque retombée seront placés sous le sceau de la responsabilité et de l’intérêt national.
